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  1. Étude énergétique

Ces dernières années, la disparition annoncée des énergies fossiles et l'augmentation du prix de ces mêmes énergies nous a fait prendre conscience qu'il fallait les économiser. Les études énergétiques sont donc un ensemble de moyens qui doivent, d'une façon générale, permettre l'amélioration de la performance énergétique des logements et des bâtiments. Ce type d'étude doit toujours être réalisé par un professionnel qualifié et dans le respect de la règlementation en vigueur.

Vous trouverez ci-dessous la liste des études énergétiques proposées sur notre site.

Audit énergétique

L'audit énergétique est une étude approfondie qui porte sur la consommation d'énergie du bâtiment. Grâce à l'expertise menée, le diagnostiqueur peut mettre en avant les sources de déperdition de chaleur. En fonction des résultats obtenus, il établit une liste des travaux de performance énergétique à effectuer en priorité.

L'audit énergétique est obligatoire pour les immeubles répondant aux critères suivants :

  • Immeubles d'habitation de plus de 50 lots.
  • Constructions datant d'avant 2001.
  • Bâtiments dotés de système de chauffage ou de refroidissement collectif.

Depuis 2015, certaines entreprises ont également l'obligation de faire entreprendre ce diagnostic. Il s'agit des sociétés employant plus de 250 salariés avec un chiffre d'affaires annuel supérieur à 50 millions d'euros.

Concernant les particuliers, il n'y a pas d'obligation, mais ils peuvent demander un audit énergétique afin de faciliter les futurs travaux de performance d'énergie. Pour ces derniers, l'audit est éligible au CITE (crédit d'impôt pour la transition énergétique).

Dans les trois cas énoncés ci-dessus, le bilan doit être réalisé par un auditeur, un thermicien ou un climaticien ayant suivi une formation en techniques du bâtiment. Le professionnel doit avoir une expérience significative en matière d'audit énergétique. Il doit en outre maitriser l'usage du matériel de mesure des performances thermiques du bâtiment.

Bilan carbone

Le bilan carbone mesure la quantité de gaz à effet de serre (GES) produite par les entreprises ainsi que les particuliers au cours d'une année. Le but est de suivre de près la hausse de la concentration de ces gaz dans l'atmosphère puisqu'ils sont à l'origine du changement climatique que le monde connait actuellement. Leur mesure et leur suivi vise, à terme, à réguler et à réduire leurs émissions afin de protéger l'environnement.

Mis en place par l'ADEME (agence de l'environnement et de la maitrise de l'énergie), le bilan carbone est un outil de diagnostic qui s'intéresse principalement au dioxyde de carbone ou CO2. Ce dernier étant le plus présent dans l'atmosphère, il sert de référence à ce diagnostic. Mais l'outil mesure aussi la teneur en méthane, en protoxyde d'azote, en perfluorocarbure, en hydrofluorocarbure et en hexafluorure de soufre.

Rendu obligatoire par la loi Grenelle II de juillet 2010 pour certains acteurs publics et privés, le bilan carbone ou "bilan GES règlementaire" :

  • Établit le calcul en se basant sur l'empreinte carbone de l'activité humaine.
  • Analyse les mesures prises.
  • Définit les mesures et actions à entreprendre pour réduire les concentrations des GES dans l'atmosphère.

Bonus de COS

Lorsqu'on souhaite construire un bien immobilier sur un terrain donné, la loi impose la surface constructible totale. C'est ce qu'on appelle le coefficient d'occupation des sols ou COS.

Dans certains cas, il est possible d'augmenter la surface constructible en échange de quelques conditions. Cette surface supplémentaire est appelée le bonus de COS. Le bonus peut être de l'ordre de 20 à 30% en fonction du respect des conditions imposées.

Quand peut-on bénéficier d'un bonus de COS ?

Il est possible de bénéficier de la bonification que ce soit pour une construction neuve ou la rénovation ou bien l'agrandissement d'un bâtiment ancien.

Pour les constructions neuves, le bonus de COS est attribué lorsque le bien immobilier construit répond aux exigences du label TPHE (très haute performance énergétique) ou du label BBC (bâtiment basse consommation). Si tel est le cas, le bonus peut s'élever à 20% de plus que la surface constructible autorisée.

Pour les bâtiments existants, la bonification est attribuée si les travaux prévoient la mise en place d'installations utilisant des énergies renouvelables comme la pompe à chaleur, les panneaux photovoltaïques... Le bonus peut atteindre les 30%, mais il faut se renseigner auprès de la mairie de son domicile.

DPE

Obligatoire dans le cadre d'une vente ou de la mise en location d'un bien immobilier, le DPE ou diagnostic de performance énergétique poursuit un double objectif.

Établi après la signature du protocole de Kyoto, l'un de ses buts principaux est de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dans l'atmosphère. Cet objectif a été mis en place pour lutter contre le réchauffement climatique. C'est pour cela que le DPE doit afficher l'étiquette climat pour tout bâtiment diagnostiqué.

À part mesurer les émissions de GES, le DPE étudie aussi la consommation énergétique des bâtiments. Suite à cette expertise, une étiquette énergie est établie pour informer les propriétaires à quel point leur bien est énergivore. Ce constat veut sensibiliser les personnes concernées à entreprendre des travaux d'économies d'énergie au sein de leur bâtiment. Non seulement, ces travaux permettent de réduire les émissions de CO2 dans l'air, mais ils visent aussi à réduire le montant des factures d'énergie mensuelles.

Les deux étiquettes qui découlent de ce diagnostic doivent être mentionnées dans les annonces immobilières, que ce soit pour la vente ou la mise en location. Le rapport du DPE, quant à lui, doit être annexé au DDT (dossier de diagnostic technique) à présenter aux futurs propriétaires ou locataires avant la signature de l'acte de vente ou du contrat de bail.

Éco-PTZ

Afin de soutenir les ménages à entreprendre les travaux de performance énergétique dans leur logement, la loi Grenelle de l'environnement a établi l'éco-prêt à taux zéro ou éco-PTZ. Entré en vigueur depuis le 1er avril 2009, il s'agit d'un crédit bancaire accordé sans intérêt.

Le montant du prêt peut aller de 7.000 à 30.000 euros, remboursables en 15 ans. À partir du moment où le capital est mis à la disposition du bénéficiaire, ce dernier dispose d'un délai de 3 ans pour entreprendre les travaux prévus.

Attribué sans conditions de ressources, l'éco-PTZ exige toutefois quelques critères :

  • Le logement concerné par les travaux d'économies d'énergie doit être la résidence principale. S'il ne l'est pas au moment de la demande de prêt, il doit le devenir au bout de six mois après l'achèvement des travaux.
  • Le demandeur doit être propriétaire occupant ou bailleur du bâtiment. La société civile ou la copropriété peut également y faire appel.
  • Le logement, qu'il soit collectif ou individuel, doit avoir été construit avant le 1er janvier 1990.
  • Les travaux à entreprendre doivent améliorer le confort énergétique du logement et ainsi accroitre sa performance énergétique.
  • Les travaux doivent être confiés à une entreprise certifiée RGE (reconnue garante de l'environnement).

Étude de faisabilité EnR

Avant tout projet de mise en œuvre d'installation d'énergies renouvelables, le maitre d'ouvrage doit mener une étude de faisabilité règlementaire conformément à l'arrêté du 18 décembre 2007. Cette évaluation doit juger la pertinence du recours tant d'un point de vue quantitatif que qualitatif.

Dans les détails, l'étude de faisabilité EnR doit répondre aux questions suivantes :

  • Le bâtiment ou le site peut-il accueillir des installations en énergies renouvelables ?
  • Quel type d'énergie renouvelable peut-on y intégrer ?
  • Quels sont les avantages et inconvénients de chaque technique proposée ?
  • À combien pourraient se chiffrer les économies d'énergie faites après ces installations ?
  • Ces installations permettraient-elles de réduire les émissions de gaz à effet de serre et à combien ?
  • Quel est le budget à allouer pour ce projet ?
  • Quel est le retour sur investissement ?
  • Quelles sont les solutions de financement auxquelles on peut prétendre pour réaliser le projet ?

Outre toutes ces informations, le rapport qui découle de cette étude doit également afficher des schémas d'implantation du système sur le site. Pour avoir des informations complètes, il est conseillé de s'adresser à un professionnel pour ce genre d'études.

Étude TH-C-E / Th-C-E ex

L'étude TH-C-E ou Th-C-E ex sont des expertises thermiques que l'on effectue sur les biens immobiliers à construire ou à réhabiliter.

L'étude TH-C-E est la mention utilisée lorsque l'audit concerne les constructions neuves. Pour effectuer le diagnostic, le professionnel fait appel à une simulation thermique dynamique (STD) en se basant sur les plans du bâtiment.

L'étude TH-C-E ex, quant à elle, est réalisée sur des bâtiments existants. Pour ce faire, le professionnel effectue une analyse complète du bâtiment. Il peut s'aider également de la méthode STD si besoin est.

Ces deux types d'études thermiques visent à déterminer la performance énergétique initiale du bâtiment, soit sa performance avant travaux. Leurs résultats permettent, par la suite, de :

  • Connaitre les aides, les crédits et les subventions auxquels on peut avoir droit pour la réalisation des travaux.
  • Bénéficier soit du label BBC neuf (après une TH-C-E), soit du label BBC rénovation (après une TH-C-E ex).

Pour que les résultats soient valables, ces deux études thermiques doivent impérativement être réalisées par un thermicien compétent. Ce dernier doit maitriser les méthodes de calcul à utiliser dont le calcul de consommation d'énergie primaire (CEP) ainsi que les logiciels s'y référant.

Infiltrométrie

Également appelée test d'étanchéité à l'air, Blower Door Test ou test de la porte soufflante, l'infiltrométrie vise à s'assurer que le bâtiment est perméable à l'air. Le but est de déterminer les éventuelles fuites d'air qui sont sources de déperdition de chaleur.

Pour mener ce test, le professionnel dépressurise le bâtiment en y mettant en marche un ventilateur d'extraction de l'air. Le test se fait avec toutes les ouvertures fermées, y compris la cheminée. Avec la dépression générée dans les locaux, l'air intérieur va chercher des trous pour sortir. Il va utiliser même les plus petits trous et c'est ce qui va permettre de les détecter en vue d'une prochaine réparation.

Le test d'infiltrométrie est obligatoire depuis le 1er janvier 2013 et depuis la mise en place de la norme RT 2012. Il doit être fait à l'achèvement de toutes les constructions neuves et pour obtenir le label BBC-Effinergie. Un test d'étanchéité à l'air positif permet également de décrocher le label HPE (haute performance énergétique) et TPHE (très haute performance énergétique).

Pour les bâtiments anciens, le test doit être fait avant la réalisation des travaux d'économie d'énergie. Le traitement des sources de pertes de chaleur permettra ensuite d'améliorer le confort thermique et la qualité de l'air ambiant.

Label BBC / BBC-Effinergie

Le label BBC (bâtiment basse consommation) est attribué aux bâtiments répondant à un certain nombre d'exigences en matière de performance énergétique. La première norme a été instaurée par l'arrêté du 8 mai 2007. Depuis quelques variantes ont été mises en place dont le label BBC / BBC-Effinergie. Les deux reposent sur la première norme de 2007, mais affichent quelques différences.

Le label BBC s'adresse uniquement aux logements neufs. Pour ces derniers, il impose une consommation d'énergie primaire limitée à 50 kWhep/m2shon.an. Ce seuil peut changer légèrement en fonction de la surface habitable, de la région et de l'altitude. Comme l'unité de mesure l'indique, c'est la surface SHON (surface hors œuvre nette) qui sera considérée dans le calcul. Pour faire son expertise, le professionnel s'intéresse à différents points comme le chauffage, la production d'eau chaude sanitaire, l'éclairage intérieur, les appareils de ventilation, la climatisation... Pour décrocher le label, la consommation du bâtiment doit être au moins inférieure à 80% de la consommation de référence d'un bâtiment.

Le label BBC-Effinergie tient compte de ces mêmes points, mais avec un test d'infiltrométrie ou test de perméabilité à l'air en plus. Les bâtiments anciens peuvent le décrocher à condition que les travaux d'économie d'énergie menés permettent de limiter la consommation en énergie primaire à 80 kWhep.m2shon.an.

Label HPE / HPE EnR

Le label HPE (haute performance énergétique) est attribué aux bâtiments pour lesquels la consommation énergétique est inférieure de 10% à la consommation énergétique de référence établie par la règlementation thermique 2005 ou RT 2005. Cela signifie que, pour que le logement décroche ce label, sa consommation d'énergie moyenne devra être de 100 kWh/m2/an.

Les bâtiments anciens peuvent également l'obtenir lorsqu'il est prouvé que les travaux de performance énergétique respectent les exigences du Code de la construction et de l'habitation (CCH).

Il existe une variante à cette norme : le label HPE / HPE EnR. En plus des exigences de la norme HPE citées ci-dessus, la norme HPE EnR impose aux bâtiments de disposer d'une source d'énergies renouvelables. Ces énergies doivent couvrir 50% de l'énergie utilisée pour le chauffage ou pour la production d'eau chaude sanitaire (ECS). La maison doit donc utiliser une chaudière à biomasse ou bien être connectée à un réseau de chaleur qui est alimenté jusqu'à 60% par la biomasse.

Pour décrocher l'un de ces labels, le propriétaire doit en faire la demande auprès d'un organisme accrédité par le COFRAC (comité français d'accréditation). Pour rappel, le label HPE et le label HPE EnR ne peuvent être octroyés sans avoir réalisé au préalable un test d'infiltrométrie.

Label HQE

Le label HQE (haute qualité environnementale) a été établi pour faire cohabiter harmonieusement les projets de construction et de rénovation des bâtiments avec le respect de l'environnement. Le but est que les travaux et la consommation énergétique des biens aient le moins d'impact possible sur l'environnement.

Pour cela, la démarche HQE a établi 14 normes subdivisées en quatre grandes catégories :

  • Critères d'éco-construction : harmonie entre le bâtiment et l'environnement, mode de construction et matériaux utilisés respectueux de l'environnement et chantier à faibles nuisances que ce soit sonore, pollution et déchet.
  • Critères d'éco-gestion : énergie, eau, déchets d'activité et entretien.
  • Critères de confort : olfactif, acoustique, visuel et hygrothermique.
  • Critères de santé : qualité de l'eau, qualité de l'air et conditions sanitaires des espaces.

Le respect de quelques-unes de ces normes permet de classifier le niveau de chaque bâtiment labellisé HQE. On distingue trois niveaux pour ce label :

  • Niveau de base : au moins trois normes doivent être respectées.
  • Niveau "performant" : au moins quatre normes doivent être respectées.
  • Niveau "très performant" : sept normes doivent être respectées au moins.

Une variante à cette norme existe également, le label THQE (très haute qualité environnementale) qui est plus exigeante encore en matière d'éco-construction et d'éco-gestion.

Label THPE / THPE EnR

Le label THPE (très haute performance énergétique) repose sur le label HPE (haute performance énergétique), mais avec davantage d'exigences. Pour la norme THPE, la consommation d'énergie du bâtiment doit être inférieure de 20% à la consommation énergétique de référence imposée par la norme RT.

Une autre variante de ce label existe également : le label THPE / THPE EnR. Avec cette norme, le bâtiment doit répondre aux exigences du label THPE, mais avec d'autres critères en plus. Le premier se réfère à la consommation d'énergie qui doit être inférieure de 30% à la consommation de référence établie par la norme RT 2005.

Le second se réfère aux équipements du bâtiment. En effet, pour obtenir le label THPE EnR, ce dernier doit être équipé d'au moins un des cinq systèmes suivants :

  • Panneaux solaires qui couvrent au moins 50% de la consommation d'eau chaude.
  • Panneaux solaires qui couvrent au moins 50% de la production d'eau chaude sanitaire pour les logements collectifs.
  • Panneaux solaires qui couvrent au moins 50% de la consommation d'eau chaude et de chauffage.
  • Pompe à chaleur qui répond aux critères imposés par l'annexe 4 de l'arrêté du 8 mai 2007.
  • Système de production d'énergie électrique utilisant des énergies renouvelables. Ce système doit pouvoir produire plus de 25 kWh/m2.shon d'énergie primaire

PTZ+

Le PTZ+ ou prêt à taux zéro plus est un crédit immobilier octroyé par la banque pour aider les particuliers à financer partiellement l'acquisition de la future résidence principale. En aucun cas, il ne peut faire office de prêt principal, mais est attribué en complément de ce dernier.

Le PTZ+ est venu remplacer le classique PTZ. Il en reprend les principes de base, mais étend quelque peu son influence. Pour bénéficier de ce prêt, les conditions sont les suivantes :

  • Il faut être primo-accédant, c'est-à-dire que le bien acquis grâce au crédit doit être votre premier bien immobilier en tant que propriétaire au cours des deux dernières années. Néanmoins, si vous êtes invalides et êtes bénéficiaire d'une allocation aux adultes handicapés ou d'une allocation d'éducation de l'enfant handicapé, le statut de primo-accédant ne vous concerne pas.
  • Il faut avoir un revenu fiscal ne dépassant pas le revenu fiscal de référence. Autrement dit, le PTZ+ est accordé sous conditions de ressources.

Suite à la réforme qu'a subie le PTZ, le PTZ+ a établi de nouveaux plafonds de ressources en fonction de la localisation géographique. Ce prêt tient donc compte d'un zonage se basant sur quatre zones principales : zone A, zone B1, zone B2 et zone C.

Thermographie infrarouge

La thermographie infrarouge ou analyse thermographique permet d'identifier les défauts d'un bâtiment par le biais d'une caméra thermique. Réalisée obligatoirement par un professionnel, ce dernier doit maitriser l'utilisation de cet outil et savoir interpréter les différentes couleurs mises en évidence.

Lorsqu'on regarde à travers la caméra, la maison apparait effectivement dans un silo de couleurs, chaque couleur se référant à une zone de chaleur. Leur interprétation va permettre de savoir dans quelle zone on retrouve des pertes de chaleur.

Généralement, la toiture est le premier responsable de la déperdition de chaleur au sein d'un bâtiment. Elle n'est toutefois pas la seule puisque le sol, les murs, les ouvertures... peuvent également présenter des ponts thermiques. Grâce à la thermographie infrarouge, on détecte facilement ces points afin d'établir une liste de travaux par priorité.

Outre les zones de pertes de chaleur, la caméra thermique indique également les zones d'humidité et même les moisissures, les fuites au niveau de la toiture, les fuites d'air... Il faut d'ailleurs savoir que cette analyse doit parfois être associée à l'infiltrométrie pour mesurer la perméabilité de l'enveloppe du bâtiment à l'air.

L'analyse thermographique peut appuyer un audit énergétique ou un diagnostic de performance énergétique (DPE).

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